• L’Aube Éveillée

    Dans l’ombre pâle d’un matin blafard,
    Le réveil sonne, cruel et sans égard,
    Les rêves s’évanouissent, doux et légers,
    Sous le poids du jour, l’esprit est figé.
    Les paupières lourdes, l’âme enchaînée,
    Le corps se débat, encore prisonnier,
    Des songes éthérés, des mondes enchantés,
    Où la nuit règne, où tout est sublimé.
    Le tic-tac implacable, le temps qui s’étire,
    Chaque seconde, une torture, un martyre,
    Le cœur soupire, l’esprit se rebelle,
    Contre l’aube naissante, contre cette ritournelle.
    Mais dans ce combat, une lueur d’espoir,
    Un rayon timide, un éclat de gloire,
    Le jour se lève, et malgré la douleur,
    L’âme s’éveille, embrassant la lueur.
    Le réveil sonne, l’aube pointe,
    Les rêves s’effacent, l’esprit se joint.

    Parfum de mémoire, rêveries caféinées

    Le café me frappe toujours le nez,
    Un instant avant de toucher ma bouche;
    Foncé et chaud, l’élixir m’appelle,
    Et parfois, je peux presque goûter les souvenirs.
    La tasse en grès de ma mère,
    Toujours mélangée un peu trop sucrée,
    L’odeur du café corsé Senseo,
    Un contraste clair et terreux,
    Aux notes épaisses et florales,
    De son parfum de boutique;
    Ils se mêlent étonnamment,
    Sur ma mosaïque de souvenirs;
    Je n’aurais pas d’autre choix,
    Que de céder à cette douce tentation.
    Mots doux murmurés avec intention,
    Révérencieuse, devenant magnétisés,
    Puissants; le corps chante en vibration,
    Dans le calme, le mouvement rythmique,
    Attestant le caractère sacré,
    De cet espace saint à l’intérieur de -
    Le lieu de savoir, où l’amour est intemporel;


    Les esprits et les ancêtres,
    Partis avant nous, viennent avec sagesse,
    Et des conseils ésotériques;
    Chacun est positionné sur,
    Chaque respiration délibérée,
    Attendant que l’ego s’endorme;
    L’encens purifie l’air,
    Et prépare le cœur,
    Pour une acceptation en toute honneur,
    Et avec gratitude, sans peur.
    Dans ce sanctuaire de paix et de lumière,
    Les souvenirs dansent, doux et légers,
    Comme des feuilles portées par le vent,
    Évoquant des moments de bonheur éclatant.
    Les arômes du café, mélodie enivrante,
    Rappellent des instants de vie vibrante,
    Où chaque gorgée, chaque souffle,
    Ravive l’âme, la rend plus souple.
    Les matins dorés, où le soleil se lève,
    Illuminent les rêves, les espoirs sans trêve,
    Chaque instant partagé, chaque sourire,
    Tissent des liens que rien ne peut détruire.
    Le café, compagnon des pensées vagabondes,
    Invite à la réflexion, à l’évasion profonde,
    Et dans chaque tasse, une histoire se raconte,
    Un voyage intime, où le cœur se monte.


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  • Étreinte Éphémère d’une Nature Sensuelle

    Étreinte Éphémère d’une Nature Sensuelle

    Marée du soir, crépuscule envoûtant,

    Symphonie des ombres, mélancolie flottant,

    Doigts de la nature, tendrement enveloppés,

    Repos de la métamorphose, âmes élevées.

    Renaissance Douce

    Dans l’attente de l’aube, douce renaissance,

    Touchée par le calme, une tendre danse.

    Nature en mouvement, harmonie éternelle,

    Poétique, cinétique, beauté universelle.

    Grâce Infinie

    Utilise un phrasé immaculé,

    Pour souligner la splendeur des tiges sacrées.

    L’abeille plane avec une grâce infinie,

    Doucement, dans sa fleur, elle trouve son abri.

    Étreinte Éphémère d’une Nature Sensuelle

    Éclat Doré

    Explosion de pollen, éclat doré,

    Ce qui reste, le vent l’a emporté.

    Le ciel recèle un mirage enchanté,

    Réel, dans son doux sillage, émerveillé.

    Révélation Sensuelle

    Ses ailes battent, se déploient avec passion,

    Révélation sensuelle, douce émotion.

    Le monarque, avec son amour,

    Leurs ailes allument une lumière, un jour.

    Étreinte Éphémère

    Étreignant pour une éternité brève,

    Avant que la ficelle ne s’achève.

    Le baiser cloacal, sous les yeux,

    Acquiesçant, beauté vers les cieux.

    Étreinte Éphémère d’une Nature Sensuelle

    Couleurs Éclatantes

    Quelque part, même maintenant,

    Ses couleurs stupéfient, éclatant.

    Deux amants, au-dessus, elle vole,

    Nous, ancrés au sol, en rôle.

    Destin Partagé

    Inévitablement entrelacés,

    Par des fils invisibles, enlacés.

    Voyageant sur des chemins séparés,

    Arrivant toujours au destin partagé.

    Étreinte Éphémère d’une Nature Sensuelle

     


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  • Les Confidences Nocturnes

    Les Confidences Nocturnes

    La nuit si obscure, d’un azur profond,

    Cache en son cœur des amours qui se créent, 

    des amours qui s’évanouissent,

    La nuit est un vaste abîme, 

    où les souvenirs et les remords se confondent,

    Pendant qu’une voix s’élève, au cœur son intimité,

    Le temps devient rêveur, et dehors la nuit chuchote,

    Des soupirs et des rancunes, des toujours et des jamais,

    La nuit berce de mystères, il me revient un long souvenir,

    Comme une bouffée de nostalgie, le temps d’un soupir éphémère,

    Je voudrais de mes jeunes années, 

    ressentir à nouveau le souffle sucré,

    Contempler les cimes enneigées, où les étoiles viennent danser,

    Au pied des sombres tours étoilées, la nuit est un refuge,

    Où chaque souffrance hurle dans un grand silence,

    Sa douleur et son espoir à la face de l’univers immense.

    Sous le voile de la nuit, les rêves se tissent,

    Des promesses murmurées, des secrets qui s’éclipsent,

    Les étoiles veillent, témoins des âmes en quête,

    De l’aube naissante, où l’espoir se reflète.

    Les Confidences Nocturnes

     

    Les Confidences Nocturnes

     

    Les Confidences Nocturnes

    Sous le voile de la nuit, un mystère se dévoile,

    Les étoiles scintillent, joyaux dans l’écrin céleste,

    Dans l’ombre des rêves, les souvenirs se voilent,

    Les murmures du passé, doux échos d’une fête céleste.

    La lune, complice, éclaire les cimes enneigées,

    Où les vagues argentées viennent doucement danser,

    Les falaises blanches, gardiennes des secrets oubliés,

    Se dressent majestueuses, comme des sentinelles de l’éternité.

    Le vent nocturne, messager des âmes en peine,

    Porte les soupirs et les espoirs éphémères,

    Les cœurs battent en silence, sous la voûte sereine,

    Cherchant dans l’obscurité, des lueurs sincères.

    La nuit, refuge des âmes en quête de lumière,

    Berce les rêves et les peines, dans un doux murmure,

    Les étoiles veillent, gardiennes des mystères,

    Tissant des liens d’amour, dans l’ombre pure.

    Et moi, perdu dans ce tableau enchanteur,

    Je me laisse emporter par la mélodie des cieux,

    Ressentant à nouveau, le souffle de mes jeunes heures,

    Revivant les instants précieux, sous les astres radieux.

    Les Confidences Nocturnes

     


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  • Étreinte nocturne - Crépuscule d’éternité

    Étreinte nocturne - Crépuscule d’éternité

    Étreinte nocturne

    Il faut que je te conte une histoire obscure,

    Que les ombres profondes et sombres capturent mon cœur,

    Dans l’étreinte du crépuscule, où la lumière et les songes se révèlent,

    Je demeure dans les ténèbres, sans jamais m’en aller, éternel.

    La nuit m’enveloppe dans son manteau de velours,

    Où les spectres dérivent et où les secrets murmurés persistent toujours,

    Dans le crépuscule, où naissent de brillants espoirs,

    Je trouve un refuge, loin de l’étendue des soirs.

    Ni l’étreinte du soleil ni la lueur invitante de l’aube,

    Ne me feront sortir du repaire caché de l’ombre,

    Dans l’étreinte des ténèbres, mon âme tisse son rêve,

    Et dans l’obscurité, je trouve un réconfort qui s’élève.

    Ne me laisse pas dans l’éclat aveuglant du jour,

    Car les ombres sont ma demeure, et là j’habite toujours,

    Dans l’étreinte de l’obscurité, je trouve un profond désespoir,

    Pourtant, ici, 

    dans le royaume du crépuscule, mon cœur se gonfle d’espoir.

    Étreinte nocturne - Crépuscule d’éternité

    Étreinte nocturne - Crépuscule d’éternité

    Crépuscule d’Éternité

    Quand le jour s’éteint et que la nuit s’avance,

    Les ombres dansent sous un ciel étoilé,

    Le silence murmure une douce romance,

    Et les rêves naissent dans l’obscurité.

    Les étoiles brillent, témoins de nos peines,

    Le vent soupire des secrets oubliés,

    La lune éclaire nos âmes incertaines,

    Dans ce monde nocturne, tout est figé.

    Mais au cœur de la nuit, une lueur persiste,

    Un espoir fragile, une flamme discrète,

    Qui réchauffe nos cœurs et jamais ne résiste.

    Ainsi, dans l’ombre, nos âmes se reflètent,

    Cherchant l’éternité dans un instant précis,

    Où le temps s’arrête, où tout est infini.

    Étreinte nocturne - Crépuscule d’éternité

    Étreinte nocturne - Crépuscule d’éternité

     

     


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  • Larmes de mélancolie

    Larmes de mélancolie

    Que des averses de tristesse me creusent une sépulture,

    Que des pleurs qui tombent,

    Ravivent dans mon âme,

    Une flamme vive et saignante, tel un drame.

    Mon îlot de bonheur enseveli sous les ruines,

    Projette mon esprit dans l’ombre obscure.

    Ce n’est pas un simple amas de mots,

    Mais plutôt un choc éploré des maux.

    Maux enfouis dans une corbeille de larmes,

    Larmes qui désarment mon charme sans armes.

    J’ai perçu dans tes yeux,

    Que tout était perdu, tel un brouillard.

    Devant toi, je me suis retenu,

    Peut-être par égard,

    Sûrement par dignité.

    Mais ce soir,

    Larmes de mélancolie

    Je ne puis contenir,

    Davantage mon désespoir,

    De ne plus avoir d’avenir.

    Mes yeux se voilent,

    Mon cœur se serre,

    Et tel le marteau sur l’enclume,

    Fait en moi un bruit d’enfer.

    Ah ! quand l’amour vous fuit,

    Soudain votre ciel s’assombrit.

    Gardant pour moi mes soucis,

    Parcourant le chemin de la disgrâce,

    Tel un spectre errant !

    Seul désormais j’avance, hélas,

    Sans plaisir, sans envie.

    Ma future maîtresse sera la mort,

    Qui me délivrera de mes remords.

    Je ne veux plus dire à la vie mes désirs,

    Aux âmes mes plaisirs,

    Car mes rêves sont pleins de toi.

    Chaque nuit tu es au rendez-vous,

    Toujours de ta silhouette dressée,

    L’élégance du corps, tant de frissons.

    Je ne songe plus.

    Dans le silence de la nuit, je m’égare,

    Cherchant l’écho de ton doux regard.

    Les étoiles me murmurent ton nom,

    Mais leur lumière ne réchauffe plus mon cœur, tel un abandon.

    Je marche seul, perdu dans l’obscurité,

    Espérant un jour te retrouver, dans l’éternité.

    Larmes de mélancolie

     


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