• Révélations lunaires de la nostalgies céleste

    Révélations lunaires de la nostalgies céleste,

    La nuit était une pluie d’étoiles scintillantes,

    La pâle clarté citronnée de l’astre lunaire

    Effleurait les fleurs endormies, enivrantes.

    Un murmure cosmique m’a assuré que je n’étais pas solitaire.

    Mes songes primordiaux, silencieux,

    Étaient déjà connus des cieux.

    Les galaxies se souviennent de moi avec allégresse,

    Elles reconnaissent mon énergie, ma liesse.

    Elle brille, l’éclat céleste de la nuit,

    Rendant ce qui est au-delà une révélation éblouie.

    La lune voilée émet une lumière étrange, obscure,

    Réveillant en silence le monde secret de mes plaisirs impurs.

    Pourtant, la marée scintille, aveuglante,

    Sur l’ancien rivage de mon esprit ce soir, troublante.

    Des souvenirs mystérieux tourbillonnent, hantant mon cœur,

    Comme une sombre euphorie apaise ma douleur.

    Au centre de l’âme existe une porte voûtée,

    Où résident les fantômes du cœur, envoûtés.

    Entrer expose tous les secrets que l’on veut confier,

    Celui qui m’a dit qu’il n’y a pas de magie a menti, à mes yeux égarés.

    La nuit est silencieuse, l’entendez-vous ?

    Les extases sombres et veinées du monde soutiennent mon esprit, ému…

    La nuit, complice de mes pensées vagabondes,

    Éveille en moi des rêves profonds et féconds.

    Les étoiles, témoins de mes secrets les plus sombres,

    Illuminent mes désirs, mes espoirs sans nombre.

    Révélations lunaires de la nostalgies céleste

    Révélations lunaires de la nostalgies céleste

    Révélations lunaires de la nostalgies céleste

     


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  • Le Joyau Désespéré

    Le Joyau Désespéré

    Deux fragments d’un rêve éclaté,

    Flottant sur un ruisseau d’été,

    Un joyau désespéré,

    Sous le flot abandonné.

    Paix simple et désir douloureux,

    Menacés par des cœurs envieux,

    Petits éclats perdus dans le temps,

    Détails oubliés, rimes au vent.

    Une modeste somme qui mène à deux,

    Devenu un tout, mais fallacieux,

    Peut-être que la valeur n’est qu’illusion,

    Ou un sentiment hors de notre raison.

    Où est passé tout ce désir ardent ?

    Il s’élançait comme un faon tremblant,

    Courant dans la forêt obscure,

    Comme une grâce incomprise, pure.

    Si la nature nous a donné un trésor,

    Un joyau, une volonté, un chant d’or,

    Alors pourquoi ce que nous avons commencé,

    A-t-il laissé notre paradis inachevé ?

    Le Joyau Désespéré

    Le Joyau Désespéré

     


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    Poussière de l’interférence

    Elle danse dans les ruines de la rage,

    Plongeant au cœur de la malveillance sauvage,

    Sa renaissance, sans égaler

    La souillure qui lie la tombe à jamais.

    Elle danse sur le tumulte du mécontentement,

    Balayant les flots de l’instabilité,

    Pour mesurer les plaies de la Terre,

    Où la sagesse se fissure, éphémère.

    Elle danse dans la poussière de l’interférence,

    Où la voix dans le vide est en errance,

    Aucun désir ni orgueil ne peuvent masquer

    Le voile de mélancolie sous sa peau voilée.

    Elle danse sur la poitrine du malveillant,

    Où la tragédie est éternellement présente,

    Elle se mêle aux hauteurs de la pensée,

    Pour sonder les blessures jamais pansées.

    Elle danse au bord de l’intelligence,

    Où elle colporte le mythe de la raison,

    Vêtue d’un mirage, en apparence,

    Est la vision d’une endurance en floraison.

    Poussière de l’interférence

    Elle danse à l’hymne de sable,

    Où la colère et la fureur s’entrelacent,

    La disharmonie lie son talent

    Avec un souffle bouillonnant, brûlant.

    Elle danse sur le sommet du venin,

    Où le chant de leurs mots persiste,

    Un faux pas dans la rancœur

    Laisse sa marque sur sa couronne de douleur.

    Une voix dans l’abstrait de la faiblesse,

    Récupère les débris jusqu’à la vie,

    Marquée et dépourvue de liesse,

    Nous laissons stagner dans la survie.

    Poussière de l’interférence

    Poussière de l’interférence

     


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  • Les Secrets des Racines

    Une ardeur vertigineuse m’entraîne en promenade,

    Divertissant les vents par mon discours enchanté,

    Magie irisée, voie ancienne de l’arcade,

    Murmurant aux arbres, brise douce à caresser.

    Envoyant des messages secrets aux racines,

    Qui devinent en silence, au fond des profondeurs,

    Atteignant la terre, sensibles et divines,

    Gardiennes du temps, enregistreuses des heures.

    Portail sacré, lien avec les esprits anciens,

    Témoins des civilisations, des échanges savants,

    Échangeant la sagesse contre des progrès vains,

    Nous, anciens, connaissions les plantes, leurs talents.

    Nous glorifions la lune rouge, Sol dans les plaines,

    Érigeant des pyramides en son honneur,

    Vie paisible avec dinosaures et reines,

    T-rex chassant en meute, dévorant sans peur.

    Nos clans puissants, un code de comportement,

    Enseigné par Sol, le sacrifice sacré,

    Prêtresse choisissant des vierges en offrande,

    Honorées d’être élues, leur destin scellé.

    Puis un jour, des êtres descendirent sur nous,

    Ignorant les règles de notre société,

    Vieille magie, maladie, Sol furieux et fou,

    Détruisant les étrangers, jardin sacré.

    Attristés, visions de Sol, rêves interrompus,

    Météores jetés, preuves effacées,

    Génétique imparfaite, respect disparu,

    Vieille société, arts anciens enseignés.

    Un jour, révolte contre notre Père déprimé,

    Utilisant magies contre lui, il les laissa,

    Restant dans l’esprit, planète animée,

    Fâcheux sombre, vérité égarée, voilà.

    Ils ne répondent que de manière logique,

    Quand il expliqua l’amour sans quotient,

    Certains prêts à apprendre, quête mystique,

    Volonté du guerrier, âme sœur en avant.

    Prêts à marcher les mondes avec notre père,

    Ils cherchent l’amour, refusant la procréation,

    Suivant ici, âme sœur insaisissable, lumière,

    Volonté du guerrier, quête de rédemption.


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  • Les Couloirs de l’Espoir

    Sur la cime de l'arbre, le corbeau se tient,

    Observé sans cesse par l'ennui de l'homme qui le peint.

    Le merle, sa poitrine d'un auburn éclatant,

    Danse avec une légèreté charmante et éclatante.

    L'étourneau rêveur se niche dans la verdure,

    Nourrissant l'espoir d'être un faucon dans la nature.

    La vie semble couler, sans effort ni lutte,

    Comme si tout était en place, sans heurt ni chute.

    Les pensées tourmentées semblent moins amères,

    Alors que la nature éclate en mélodies sincères.

    Quand la douleur d'être humain nous accable,

    On cherche refuge dans le monde naturel, inébranlable.

     

    Hanté par une ombre sombre qui frissonne,

    Elle s'enfonce comme une flèche dans l'ombre qui résonne.

    Un froid obscur se répand dans mes os,

    Pensées invasives de l'inconnu, tels des échos.

    On y voit l'espoir errer dans mes corridors,

    Ce désespoir semble désespéré de prendre de l'essor.

    Mais la force a entendu l'appel ancien,

    À travers les branches de baies perdues dans le lointain.

     

     

    Loin de la complexité chaotique de la pensée sombre qui avance,

    Car quand une ombre existe qui n'appartient pas au soleil, on danse.

    Je ne me précipite plus dans un interrogatoire cruel et sombre,

    Les bourgeons qui feuillent caressent l'écorce nue de mon âme.

    La lumière novice du printemps fait danser et étourdir les ombres.


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